
D’autres chemins de Shahrazade
Je suis comme toi…
Ma panique est forgée du sang du matin
Je n’ai pas le temps maintenent...
De me reposer sur les rêves
Les coups de l’horloge ici,
Dessinent les traits d’une vieille ville
Ils installent la guillotine de la féminité
Shahrazade, le jour sait comment nous croquer
Le bouton de la radio indique une autre mémoire
A travers une chanson peuplée de lumière
Je pars vers une ville bâti du Kohol et des rires
Trop fardée du rouge
Et comme chaque échec je secoue ma tête
Je la bande avec foulard idiot
Je la porte sur les chemins du cauchemar
Comme un cercueil rempli d’une vie étroite
Venons habiller l’histoire en théâter
Pour les voies boueuses
La ville grandit dans ma gorge
Je n’arrive pas à parler
Son dieu embaumé me met sur des panneaux noirs
Et un vieux minaret
Mon enfance se brise sur les ruines du désert
Les carnavals du sang déterrent ses noces
Les visages épaississant par les versets de la peur
Et par les histories des tombes
Ce n’est pas le moment des souhaits d’une fleur
Ou des rires d’un parfum
Pas un soleil ne se frissonne par un baiser
A qui dirons-nous donc
Que nous sommes nés pour le jour?
Demain, le matin portera son cercueil
Et ouvrira le banquet de la tristesse
***
Sortons du tableau ensemble…
Scrutons les regards
Tout ce qui est derrière les regards
S’illumine du sang versé de la vierge
Le trottoir porte la sècheresse des yeux
Les bouches versent le vissage de sa défaite
En déflorant la pudeur
L’homme de la cave sème les grains du sable
Sur le vissage de la rosée
L’homme de la cave fume mes jours
Avec une cigarette aveugle
***
Qui lave le matin de la ville par le musc?
Qui réveille le tueur de l’amour
Après une imposition complète de la guerre?
Je me penche comme une herbe sèche
J’avale les chemins avec mon silence
Je porte la mélancolie de la ville sur ma tête
Je plie l’aile du papillon
Sous le rideau des histoires
O Shahrazade, crions pour d’autres chemins
Le chemin ne porte pas la cave de la parole
Et le corps de la danse à la fois
Azhar Ali
Traduit par :Alaa Alfakhri
Je suis comme toi…
Ma panique est forgée du sang du matin
Je n’ai pas le temps maintenent...
De me reposer sur les rêves
Les coups de l’horloge ici,
Dessinent les traits d’une vieille ville
Ils installent la guillotine de la féminité
Shahrazade, le jour sait comment nous croquer
Le bouton de la radio indique une autre mémoire
A travers une chanson peuplée de lumière
Je pars vers une ville bâti du Kohol et des rires
Trop fardée du rouge
Et comme chaque échec je secoue ma tête
Je la bande avec foulard idiot
Je la porte sur les chemins du cauchemar
Comme un cercueil rempli d’une vie étroite
Venons habiller l’histoire en théâter
Pour les voies boueuses
La ville grandit dans ma gorge
Je n’arrive pas à parler
Son dieu embaumé me met sur des panneaux noirs
Et un vieux minaret
Mon enfance se brise sur les ruines du désert
Les carnavals du sang déterrent ses noces
Les visages épaississant par les versets de la peur
Et par les histories des tombes
Ce n’est pas le moment des souhaits d’une fleur
Ou des rires d’un parfum
Pas un soleil ne se frissonne par un baiser
A qui dirons-nous donc
Que nous sommes nés pour le jour?
Demain, le matin portera son cercueil
Et ouvrira le banquet de la tristesse
***
Sortons du tableau ensemble…
Scrutons les regards
Tout ce qui est derrière les regards
S’illumine du sang versé de la vierge
Le trottoir porte la sècheresse des yeux
Les bouches versent le vissage de sa défaite
En déflorant la pudeur
L’homme de la cave sème les grains du sable
Sur le vissage de la rosée
L’homme de la cave fume mes jours
Avec une cigarette aveugle
***
Qui lave le matin de la ville par le musc?
Qui réveille le tueur de l’amour
Après une imposition complète de la guerre?
Je me penche comme une herbe sèche
J’avale les chemins avec mon silence
Je porte la mélancolie de la ville sur ma tête
Je plie l’aile du papillon
Sous le rideau des histoires
O Shahrazade, crions pour d’autres chemins
Le chemin ne porte pas la cave de la parole
Et le corps de la danse à la fois
Azhar Ali
Traduit par :Alaa Alfakhri